Nom : Canterburry     Prénom(s) : Samuel, Jordan     Âge : 21 ans     Date de naissance : 12 août 1992     Lieu de naissance : Rose Hip, Angleterre.     Nationalité : Anglaise.     Situation sociale : Aisée     Sexualité : Hétérosexuel     Vie amoureuse : Célibataire     Emploi, études : Etudiant en STAPS (sport), entraîneur de basket pour les 8-12 ans.     Ancienneté à Rose Hip : 21 ans, je vis dans le quartier riche.

Pourquoi avez-vous décidé de venir vivre à Rose Hip ? Je suis né à Rose Hip, et disons que toute ma famille s'y trouve. Les Canterburry font un peu parti des meubles, et c'est bien cela qui me gêne. J'ai qu'une envie, c'est de pouvoir partir en Amérique et rejoindre une des plus grandes équipes de Basket de la côte. Malheureusement, ma famille ne me laisse pas le choix, je suis obligé de rester vivre dans l'immense villa familial.     Que pensez-vous de la Rosehaie, en toute honnêteté ? La Rosehaie ? Je ne sais pas, je veux dire... je ne suis pas dans ce combat pour les retirés, ils ne m'ont fais rien et je ne comprends pas pourquoi ils veulent à tout prix se faire accepter par les "riches". En faite, je dirais même que j'ai déjà parlé avec quelques habitants de la Rosehaie et ils étaient fortement agréable, j'aimerai leur dire qu'ils feraient mieux d'aller vivre plus loin parce que la guerre ne sera jamais terminée... Mais ils font ce qu'ils veulent, eux veulent se faire accepté, moi je veux m'en aller.     Comment vous définiriez-vous ? Je me définirais comme un homme relativement caractérielle. Je ne me laisse jamais faire, et je suis ce qu'on appelle un "sang chaud", sûrement dû à mes origines Italiennes. Plus clairement, j'ai des soucis de violence, aussi appelé "excès de violence" depuis que j'ai six ans. Aujourd'hui, cela me suit encore mais je sais me canaliser bien mieux qu'avant. Mais disons que j'ai malheureusement pris goût à la bagarre, et si un autre garçon me cherche il est certain que je ne me laisserai pas faire. Je sais pourtant discuter tranquillement, et paradoxalement je suis tout de même très calme. Mais j'ai mes moments, et il est difficile de me calmer. Pour autant, je n'ai jamais frapper personne de ma famille, et ni aucunes filles d'ailleurs. J'ai un énorme respect envers ses dernières, et même si c'est déjà arrivé qu'une fille me cherche des poux, j'ai su m'exprimer verbalement. Je suis un homme très franc, droit, honnête et sincère. J'ai énormément de mal avec les gens qui mentent et qui font du mal gratuitement. Les hypocrites ? N'en parlons même pas! Par ailleurs, je suis "le bon copain" de tout le monde. En faite, beaucoup vous diront qu'il vaux mieux m'avoir en ami qu'en ennemi, je ne sais pas si c'est vraiment vrai. Mais en tout cas, je sais rire quand il le faut, j'ai une âme de blagueur et de déconneur. J'adore rire, m'amuser, faire la fête. Mais je ne bois pas, et je ne fume pas, je suis surtout un sportif de base. Je suis très ambitieux, courageux et très serviable. Mais en plus de mes excès de violence, j'ai tendance à être lunatique, impulsif et ... jaloux, oui.    10 lignes = 10 lignes dans la zone d'édition de texte, et non une fois le message envoyé !

   

   
Ma naissance date du 12 août 1992, à Rose Hip. Oui, j'ai eu la chance d'être né dans une ville aussi luxueuse et accueillante que Rose Hip. Ironie, croyez-moi. Enfin, à l'époque, ou en tout cas quand j'étais petit je n'y pensais pas à tout cela. J'avais une grande villa, pleins de copains et copines et une grande famille unie, rien qui pouvait m'y faire penser que Rose Hip pouvait devenir un enfer. Je suis le deuxième d'une famille de trois enfants, j'ai un frère de 3 ans de plus que moi, ainsi qu'une sœur de seulement une année ma cadette. Mes parents eux sont de grands noms à Londres, et même dans toute l'Angleterre. Mon père est PDG d'une grande entreprise de publicité, alors que ma mère est psychologue. Mes grands parents eux aussi ont vécu à Rose Hip, et bien qu'ils soient retraités aujourd'hui, ils y sont toujours présent. J'ai grandis plutôt dans l'idéal d'une vie déjà construite, parfaite, sans aucune tâches noires au tableau. J'étais un petit garçon tellement adorable, gentil, marrant, obéissant. Autant moi que mon frère et ma sœur d'ailleurs, nous n'étions réellement pas des enfants à problèmes. A l'école, et même en maternelle j'étais déjà l'élève modèle. De bonne notes, un bon comportement, le chouchou des maîtresses. C'est comme si, à cet âge là je savais déjà mettre les gens de mon côtés. Et à six ans, j'ai commencer à dégager des excès de violence. Jusque là, j'avais un comportement exemplaire, et pourtant il a fallu d'une fois pour que je déclare une bagarre avec trois camarades de l'école. A six ans, vous imaginez ? J'avais le visage d'un enfant terriblement innocent, et pourtant sans même le faire volontairement je déclenchais baston sur baston. Mes parents ont commencés à s'inquiéter, parce que tous les jours l'école les appelaient pour leur annoncer une nouvelle bagarre. Ma mère étant psychologue a toujours tenté de le faire avec moi, j'ai jamais voulu entendre quoi que ce soit. A sept ans elle a décidé de m'emmener chez un de ses confrères afin de comprendre ce qu'il m'arrivait... ce fut un énorme échec. A cet âge là, j'avais déjà un caractère drôlement difficile et le psychologue a trouver bon de me dire que ma mère avait peur que je m'en prenne à ma sœur de six ans. Comment pouvait-elle penser ça de moi ? Il m'étais impossible de m'attaquer à ma sœur, ni même à mon frère et ils le savaient très bien. J'ai quitté le bureau et ma mère m'a ramener à la maison. J'ai donc décider de tenter de me contrôler, parce qu'il fallait que je prouve à ma famille que j'étais pas un garçon violent, et mes excès se sont dissipés, peu à peu. J'ai également demander à mes parents de m'inscrire dans un club de basket, j'avais besoin de me défouler et c'était certainement le meilleur moyen de tenir ma colère le plus loin de moi possible.  J'ai pu reprendre une scolarité normal, les bagarres ont peu à peu cessé à l'école et de ce fait, les histoires ont était rapidement terminé.  

   
L'adolescence, le goût du nouveau. C'est vers 13, 14 ans que nous, les petits jeunes hommes on commence à s’intéresser aux jeunes filles, au sport et à vouloir devenir mieux physiquement. Je faisais du basket depuis six ans déjà, et j'adorais ça. En plus de tenir ma colère éloigné, je m'éclatai et m'épanouissais dans ce sport. La tension à la maison avait nettement baisser et ma mère avait l'air plus confiante vis à vis de moi. Elle arrivait enfin à me laisser seul avec ma sœur, presque un miracle. Au collège, tout allait bien pour moi, j'ai même embrassé une fille pour la première fois. Je peux pas tellement dire que c'était glorieux, mais au moins je l'avais fais. Et puis, il a fallut que tout bascule. J'avais quatorze ans, j'étais au collège et ma sœur y était également, ayant treize ans. A Rose Hip, le collège et le lycée se trouve dans la même rue, ce qu'il fait qu'il n'est absolument pas rare que les collégiens et lycéens se croisent et jusque là je n'avais jamais eu de soucis avec aucun d'eux. Mon frère s'y trouvait lui, au lycée, il était même en dernière année et il arrivait parfois qu'on s'attendent tous les trois pour rentrer à la maison ensemble. Mais il a suffit d'un jour pour que rien ne se passe comme prévu. Je sortais tout juste de mon dernier cours de la journée, il était 17 heures et la nuit commençait à tomber en ce mois de décembre. Sac de cours sur une épaule, je quittai ma salle quand tout à coup un garçon arrive en courant vers moi, hurlant des mots que je ne comprenais pas. "Oh calme-toi, respire! Je comprends rien à ce que tu dis! " lui ais-je dis. Il a reprit sa respiration, pour finalement pouvoir placer quelques quart de phrases : " Ta sœur, dehors... les lycéens..." et je ne l'ai même pas laissé finir, je suis parti plus vite qu'une furie pour rejoindre la sortie du collège. Un milliard de scénario passaient dans ma tête, j'imaginais le pire et je crois que je n'ai jamais couru aussi vite de ma vie. Plus vite que prévu, je me retrouvais en dehors du collège et une foule s'était attroupé, et j'ai pu apercevoir les cheveux de ma sœur. Je me suis faufilé entre les gens, et j'ai sauté au coup du lycéen. Il devait avoir 17 ans, j'en avais quatorze, mais je n'ai même pas chercher à comprendre, j'ai frappé, sans m'arrêter. Je savais qu'il fallait que je m'arrête à un moment donner, mais je pouvais pas. Ma colère remontait en moi, je voulais qu'il souffre pour ce qu'il avait fait. Heureusement pour lui, mon frère est rapidement arrivé et m'a arrêter pour me mettre plus loin. Il m'a calmé, mais je ne voulais pas l'écouter, un ami à mon frère a amener l'autre garçon plus loin parce qu'il savait que tant qu'il était dans mon champs de vision, j'allais pas me calmer. Et ma tension a baisser, mon frère était là. Mais je ne voyais pas ma sœur, elle était encore assise par terre entourée de ses copines et je suis allé la voir, m'accroupissant à côté d'elle et vérifiant partout si elle saignait, ou avait-elle mal, ou quoi que ce soit que je devais savoir. Elle avait des bleus simplement parce qu'elle s'était débattu, juste parce qu'elle n'avait pas accepté ses avances. Bon dieu, elle avait treize ans et lui dix-sept ! Je voyais encore rouge, mais il était temps de rentrer à la maison. Mon frère, ma soeur soutenu par nous et moi-même rentrons donc ce soir là à la maison et j'ai pris soin d'elle comme jamais. Ce passage de ma vie, je ne pourrai jamais l'oublier. Vous savez pourquoi ? Déjà parce qu'on s'est attaqué gratuitement à ma sœur, mais aussi parce que j'ai compris que ma fratrie étaient ce que j'avais de plus cher et qu'il ne m'en fallait pas plus pour me mettre en colère. Parce que oui, mes excès sont donc revenu à quatorze ans suite à cet évènement. Dès qu'on s'attaquait à moi, ma famille, mes proches gratuitement, je réagissais au quart de tour et j'enclenchais une bagarre. Seulement cette fois-ci, ma mère n'a pas voulu m'emmener voir un psychologue parce qu'elle savait que je saurai me gérer, quoi qu'il arrive. Je continuais le basket, c'était mon domaine, mon défouloir et j'étais le meilleur dans ce domaine.    



A seize ans, donc ma deuxième année au lycée mes excès de colère ne sont pas parti, mais ils arrivent seulement lorsqu'on me cherche. Et malheureusement, l'épisode du collège me colle à la peau à ce moment là et tous les garçons un peu chaud ne se gêne pas pour me chercher et me titiller. Il est évident que des bagarres ont eu lieu, et j'étais pour la plupart le coupable dans les gestes, mais je n'ai jamais chercher quiconque. Faisant du basket, j'ai commencer à devenir plutôt bien formé physiquement et ma réputation n'a cessé d'augmenter. Je me suis fais beaucoup d'ennemis, mais heureusement beaucoup d'amis aussi, et ma sœur n'a jamais quitter ma vision. J'ai toujours fais en sorte qu'elle soit en sécurité, afin qu'il ne lui arrive plus jamais la même chose. Elle m'en remercie tous les jours, et tous les jours je lui dis que j'ai agis naturellement mais je sais qu'au fond elle a été un peu traumatisée et je me dois d'être là, tout le temps pour elle. C'est à seize ans que je vis ma première petite histoire d'amour également, une jeune fille de mon âge qui fais également parti du lycée. Un petit coup de foudre comme on appelle ça, et l'histoire aura duré six mois. Six beau moins pour qu'au final une bagarre éclate au lycée devant ses parents, et qu'ils lui interdisent de me voir. Pourtant, ce n'était même pas contre elle, on m'avais encore cherché, comme toujours. Et elle savait comme j'étais, mais ses parents ont quitté la ville pour partir ailleurs, sans jamais que je le sache. Je l'ai toujours en travers, car je pense que si elle avait voulu avoir des nouvelles de moi elle aurait pu le faire, or elle ne l'a jamais fais. Après son départ, j'ai obtenu mon diplôme avec une petite mention, et je me devais de choisir ma future voix. Celle-ci était déjà choisit, je voulais aller en sport études, et vous savez quoi ? Ma mère à péter son câble, prétextant que ce n'était pas une perspective d'avenir et qu'il fallait que je fasse du marketing ou de la psychologie, comme eux. Mon frère lui a fait du droit, par choix. Choix qui a plu à mes parents évidemment, mais lui faisait ce qui lui plaisait. Mais moi, qui voulait faire du sport étude j'ai pas eu le choix, ma mère ne voulait pas. Mon père encore, ça ne le gênait pas plus que ça, il s'en fichait pas mal en faite. Il savait que ma mère pouvait être dure pour rien parfois. Alors j'ai été clair avec ma mère, je ne ferais aucun des deux choix mentionner, j'irais en sport étude option basket ball, qu'elle le veuille ou non. Et je l'ai fais. Elle m'a coupé tous les vivres, ne m'adressant plus la parole. Je vivais avec une mère qui ne me parlais jamais. Mais ça ne m'a pas freiner. L'avantage d'avoir une villa immense, c'est qu'il est facile de ne pas se croiser, alors mon père me donner de l'argent en cachette pour que je puisse payer mes frais de scolarités et tout ce dont j'avais besoin. Mais au bout d'un an, j'en avais marre de faire subir ça à mon père alors j'ai décidé de me prendre un boulot, j'avais dix neuf ans, j'avais le droit. J'en ai trouvé un en tant qu'entraîneur de Basket pour les 8-12 ans, et je m'y suis très vite impliqué.  



Mes excès de violence ne m'ont jamais quittés, même en grandissant. Je savais seulement mieux les gérés, et surtout me contrôler. J'ai appris à répondre verbalement d'abord et si il le fallait, je frappais. Mais voilà, ayant commencé à travailler avec des jeunes enfants, j'ai du tout faire pour leur montrer le bon exemple. Et la violence n'en est pas un, j'ai donc tout naturellement expliqué quel type d'hommes j'étais et qu'il ne fallait pas qu'ils soit ainsi. Le basket étaient leur passions, et je les aidais à acquérir ce dont ils avaient besoin. Je continue mes études en sport, et mon travail me plaît toujours autant. Malheureusement, je tourne en rond dans cette ville. Ma mère ne m'adresse toujours pas la parole, et j'en ai marre de traîner dans les mêmes endroits. Je veux devenir basketteur professionnel mais pour ça, je dois quitter l'Angleterre, or mes parents me l'interdisent complètement. Ils m'ont laisser faire mes études de sport, mais ça s'arrête là. J'adorais Rose Hip avant, plus jeune, mais désormais je veux partir. J'ai besoin de partir loin, de vivre ma vie. Mais de ce fait, il m'est également impossible de laisser ma sœur sans moi. Mon frère lui en est à la fin de ses études, il s'éclate dans sa vie et je l'envie tellement. Il m'arrive souvent de sortir avec lui, mais ma sœur n'en est qu'au début et elle a besoin que je sois là. Alors je reste à Rose Hip, je continue ma routine et j'évite de déclencher des bagarres... et je vis. Je suis fort heureusement de nature sociable, j'aime profiter, m'amuser et je ris beaucoup. Cela m'aide à tenir quand je suis avec mes proches, j'oublie tout et je profite. Je suis taquin, j'adore découvrir de nouvelles choses. Cela me permet de m'évader tout en restant à Rose Hip. J'ai aussi mes mauvais côtés comme celui d'être impulsif, grincheux et violent, mais je fais toujours en sorte à ce que mes bons côtés passe en premier. 

   

   
   

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