Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 

 SVEN ▲ Russian Roulette

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Sven V. Ström
▲ I'm Sven V. Ström

killingwolf
LETTRES D'AMOUR : 1299
DATE D'ARRIVEE : 18/05/2014
AVATAR : BOYD HOLBROOK
ÂGE DU PERSONNAGE : 26 ans
JOB, ETUDES : Gérant d'un service d'escort et dealer
.. ..

Feuille de personnage
EVERYTHING ABOUT ME & MY LIFE :
MES AUTRES VISAGES: EZECKIEL & EWILAN
DISPONIBILITÉ POUR RP : OPEN / Satine - Lisbeth

SVEN ▲ Russian Roulette  Empty
MessageSujet: SVEN ▲ Russian Roulette SVEN ▲ Russian Roulette  EmptyDim 25 Mai - 16:26




Sven Viktorovitch Ström

« Killingwolves - Tom Felton »

Vos premiers pas à Rose Hip


Nom : Ström.   

Prénom(s) :  Sven.   

Âge : 26 ans.

Date de naissance : 15 janvier 1988.

Lieu de naissance : Moscou, Russie.

Nationalité : Russe.

Situation sociale : J'étais riche, j'ai tout perdu, et je suis de nouveau plus ou moins aisé. Montagnes russes.

Sexualité : Bisexuel.  

Vie amoureuse : Marié.  

Emploi, études : Je m'occupe du service d'escort d'un strip club. La base.

Ancienneté à Rose Hip : Six mois, j'étais sur Londres avant.
Pourquoi avez-vous décidé de venir vivre à Rose Hip ? Je suis fiché à Londres. Quand tu fais de la prison, on te fout plus jamais la paix, on te suit partout, t'es surveillé vingt quatre heures sur vingt-quatre ... Je ne pouvais même plus me défoncer tranquillement sans qu'un flic me tombe sur le coin du museau ! Alors Rose Hip, c'était la solution rêvée. Personne viendra me faire chier pour savoir ce que je bois, ce que je fume ou ce que je prends quand je suis chez moi. Une nouvelle vie, c'est tout ce dont j'avais besoin. Et puis, sincèrement ... C'est un terrain de jeu incroyable. Vous n'imaginez pas la quantité de fric qu'on peut se faire sur le dos des bourges. Il n'y a pas mieux pour dépenser tout son pognon que quelqu'un qui en a trop. J'avais besoin de me faire oublier mais je ne saurais m'arrêter de vivre. Je suis comme je suis, des années de prison ou bien une vie entière derrière les barreaux ne me changera pas. Je n'ai pas besoin de devin pour le savoir. J'ai pris le pli de ne faire qu'un avec moi-même, et croyez-moi, c'est une chose que je n'aurais pas pu faire si facilement que ça, compte tenu de mon ... Problème.
Que pensez-vous de la Rosehaie, en toute honnêteté ? J'habite là-bas, que pensez-vous que j'en pense ? Je n'ai aucun intérêt pour les misérables, ce ne sont pas eux qui me font gagner l'argent qui rentre tous les mois dans mes poches. Avant, ces gens-là étaient mon business. Les pauvres n'ont jamais été aussi bons acheteurs que sur le marché de la drogue. Mais maintenant ... Ils n'ont aucun intérêt. Bien sûr ils sont toujours assez désespérés pour être utilisables, vous savez. Utiles, ça ils le sont. Mais inintéressants, encore plus. Je suis amusé de voir à quel point les riches et les pauvres se battent, ici. Pourtant, ils ne sont pas si différents. Ils essaient de trouver le bonheur ailleurs qu'autour d'eux pour finir par se faire plumer et poignarder jusqu'à l'os. Tous sont assez crédules pour penser qu'il y a sujet à débattre. Je pense surtout qu'ils ont besoin de s'occuper. Il faut dire qu'à l'intérieur de la Rosehaie, il y a beaucoup de filles à moi. Les riches ont du mal à laisser leur vertu de côté pour de l'argent, mis à part quelques accrocs de nouvelles expériences, mais les filles de la rue ... Tellement désespérées qu'elles acceptent sans réfléchir de signer avec le Diable. Moi, au cas où vous n'auriez pas saisi l'allusion. Alors ce que je pense de la Rosehaie ? Si elle n'était pas là, j'aurais sans doute dû retourner à Londres.
Comment vous définiriez-vous ? La question piège ... Je suis à double tranchant. Et pour moi, sans doute n'est-ce pas une façon de parler. J'ai un secret, que je n'ai jamais dit à personne car il ferait fuir tout être humain sain d'esprit qui serait mis au courant. Ou alors finirait-il par mourir dans d'atroces souffrances, qu'est-ce que j'en savais ? Vous voulez connaître ce secret ? Voilà maintenant quinze ans que l'on m'a diagnostiqué un trouble de la personnalité multiple, aussi appelé trouble dissociatif de l'identité. Vous devez sans doute être familiers avec le concept non ? Ce n'est pourtant pas difficile à comprendre, bien que le cas reste rare. Pour dire ça vulgairement, je ne suis pas tout seul dans ma tête, ni même dans mon corps. Parfois, je suis habité par quelqu'un d'autre, sans que je m'en rende compte. D'un coup d'un seul je m'évanouis, perdant toute conscience du moment présent, pour ne revenir que quelques heures plus tard. Après tout ce que j'ai vécu, je peux dire que celui qui m'habite quand il ne s'agit pas de moi est le pire psychopathe qui ait dû exister sur cette Terre. Il est froid, sans coeur et sans pitié, d'un sadisme proche de la folie et d'une envie irrépressible de contrôler le monde entier. Je ne suis pas un meurtrier. Je suis peut-être le plus gros connard que vous puissiez rencontrer à l'heure actuelle, sans doute aurais-je fais, dans le temps, du trafic d'esclaves - le trafic de femmes n'en étant pas si éloigné finalement - et je suis méprisable à tout point de vue. Mais je ne suis pas un meurtrier. Manque de chance pour moi, Lui l'est. Il n'a pas hésité à le prouver à deux reprises. La première fois, j'ai eu de la "chance" ou disons que tout aurait pu être pire. La deuxième, j'ai fini en prison. Je n'en sais pas plus sur lui mais très franchement, je ne pense pas vraiment avoir envie de m'épancher sur qui il est. Alors parlons plutôt de moi. On me décrit comme quelqu'un d'égoïste et de très accroché au concept de richesse. Vrai. On dit aussi que je suis handicapé sentimental, et sans doute est-ce vrai aussi - mais voir sa fiancée morte à son réveil, couverte de sang y est sans doute pour quelque chose, ce n'est qu'une idée en l'air -. Mais je ne suis pas seulement comme ça. Disons que je le suis avec la plupart des gens. Avec ceux que j'apprécie, par contre, je peux être totalement l'inverse. J'ai un humour bien à moi, très sarcastique et trop pince sans rire pour que tout le monde y adhère. Je ne suis pas gentil, mais parfois je peux me montrer doux, bien que tous mes amants me qualifieront sans aucun doute de sauvage et passionné. Je ne rigolais pas quand je disais que j'étais le diable. Le diable n'est jamais noir, surtout pas blanc. Il est rouge. Et de la passion et du sang, j'en ai vécu beaucoup.

10 lignes = 10 lignes dans la zone d'édition de texte, et non une fois le message envoyé !


L'histoire de votre -fabuleuse- existence

EPISODE I - I'm bleeding out.

Il y a une époque dans chaque vie où tout change. Je ne pense pas que l'homme naît mauvais, ni qu'il naît bon d'ailleurs. Je pense que la société l'oblige à être l'un ou l'autre, et même s'il se bat pour lui prouver qu'il ne sera pas ce qu'elle veut faire de lui, il finit par se noyer, vaincu de ce que la vie lui a réservé. Je n'étais pas bon, ni mauvais, à l'époque. Je vivais comme si je ne pourrais plus jamais vivre. Je vivais en profitant de chaque instant, m'extasiant sur la beauté du monde. Et pourtant des épreuves j'en avais déjà vécues. Ces angoisses,  à ne pas savoir quand je m'évanouirais de nouveau, cette faculté que mon père avait de me montrer à quel point il attendait de moi, et à quel point j'avais tort de ne chercher qu'affection. Il me montrait tous les jours que la plus grande faiblesse des hommes était leurs sentiments. Je ne le croyais pas, mais il usait d'arguments assez convaincants pour tenter de me le faire comprendre. Arguments qui me rendaient faible, blessé de tout les coups que je me prenais. Mais je voulais vivre heureux. J'avais de quoi l'espérer, à l'époque, il y avait Katarina. Elle était belle, Katarina. Elle aussi, vivait. Elle resplendissait la joie, l'amour, le succès. Je voulais l'épouser. J'allais l'épouser. J'avais dix neuf ans et j'avais d'ores et déjà fait ma demande, qu'elle avait accepté, au grand dam de ma famille. Elle n'était pas riche, elle. Mais je m'en foutais, elle était belle. C'est impressionnant ce que les souvenirs peuvent paraître niais une fois l'euphorie de l'amour passé. Parce qu'on ne s'est jamais mariés. Non, au lieu de cela, je l'ai tuée.

Un cri, perçant, tira Sven du brouillard du sommeil dans lequel il était ancré profondément. Tout s'agitait autour de lui, il pouvait le sentir, mais ses yeux avaient encore du mal à s'ouvrir. Mais il finit par faire la connexion entre le cri qu'il venait d'entendre, et l'endroit où il se trouvait. Que se passait-il ? Ouvrant les paupières brusquement, il se releva. Son père se trouvait là, ainsi que la femme de chambre et sa mère. Mais il ne les vit pas, du moins pas directement. Ce qu'il vit en premier fut la quantité astronomique de sang se trouvant dans la pièce. Il y en avait partout. Sur les murs, sur le lit, sur ... Katarina. L'effroi apparut dans ses yeux lorsqu'il contempla sa promise, la gorge ouverte en deux, à ses côtés, sans vie. Criant, la vue embuée par les larmes, il se jeta sur elle, espérant obtenir comme résultat un élan de vie que personne n'aurait pu discerner. En vain. Il sentit des bras l'arracher au corps inerte de la Romanova, et bien qu'il lutta pendant de longues secondes pour continuer à la serrer contre lui, il ne put résister bien longtemps. Avec brusquerie, on le poussa à l'extérieur de la pièce. Son père. Le regardant dans les yeux, durs, il parlait du ton sec et haineux qu'il lui connaissait, qu'il avait toujours eu. " Qu'est-ce que tu as fait ? Parle ! " Sven le regarda sans comprendre. Sa fiancée était allongée sans vie sur son lit et il le soupçonnait réellement d'y être pour quelque chose ? Désorienté, il ne put que bégayer. " Je ... Je ..." Avec un soupire, son père le pris par le bras pour le tirer jusque dans son bureau, où se trouvait déjà des hommes qu'il n'avait jamais vu, mais qui semblaient faire partie de la haute société. Comme tous ceux qui passaient les portes de ce manoir, sans doute. " Ca a empiré, il faut qu'il s'en aille. Je ne pourrais pas régler ça avec lui autour cette fois." Sven, confus, essaya de comprendre le sens de ces paroles. Il n'y parvint pas vraiment, mais une chose était sûre, "il", c'était lui. " Quoi? Mais de quoi tu parles bon sang !" Tirant violemment sur son bras il finit par se dégager, toisant son père du regard d'un air de défi, bien qu'il ne réussit sans doute pas à atteindre l'effet escompté, le choc d'avoir vu Katarina n'étant toujours pas dissipé. Sans doute n'était-ce pas plus mal lorsque l'on s'imaginait à quel point comprendre réellement qu'elle était morte le détruirait. Viktor sourit alors d'un air froid. " Tu veux savoir ce qu'il se passe ? Tu es un monstre. Satisfait?" Sven se tut. Jamais il ne lui avait parlé ainsi. Mais au fond de lui, il savait une chose. Son père avait raison.

EPISODE 2 - Worst man ever.

Je peux dire que ma vie n'a pas été des plus faciles depuis, ni des plus roses. J'ai changé. En pire, je dois bien l'admettre. Je n'ai jamais été très bon pour les happy endings, je pense que vous l'aurez compris assez rapidement. Mon père m'a envoyé à Londres, cette même semaine où toute ma vie a été réduite en cendres. J'avais de l'argent, assez pour m'assurer un avenir convenable, mais pas les moyens de vivre. Je suis tombé en dépression et je n'ai jamais eu autant d'absences que lors de cette période de ma vie. Après tout, les esprits les plus faibles sont souvent les plus attaqués. Et faible, je l'étais. J'étais méprisable, j'étais plus bas que Terre. A penser à la vie que j'aurais eu si je n'avais pas eu l'audace d'être malade. A la vie que j'aurais eu si ma maladie n'avait pas été des plus meurtrières. Je n'en dormais plus, je passais ma vie sur mon piano ou chez moi à me morfondre. J'ai commencé à tomber dans l'alcool. Je buvais tout mon saoûl et perdais connaissance, je rendais ma vie plus supportable ainsi. Puis l'alcool n'eut plus aucun effet. Alors je suis tombé dans la drogue. A petites doses, puis plus grosses. Accro à la cocaïne, je passais tout mon fric dedans. Puis mon père l'a appris, et m'a coupé les vivres. Obligé de me sevrer seul, j'ai cru que j'allais pas voir le jour se lever le lendemain plus d'une fois. Mais j'ai réussi. J'avais plus rien. Alors j'ai commencé à dealer. Et ma foi ça marchait plutôt bien. Puis Il est revenu. Un client refusant de payer ce qu'il me devait et Il a agi. C'était pas une belle période. Pas du tout.

" Avance ducon." Sven se sentit poussé brutalement, et serra les dents. Il n'aimait pas se faire commander, et encore mois par un mec qui n'avait rien connu d'autres que sa prison miteuse et sa matraque, qu'il utilisait bien trop facilement. Alors il avança, récupéra un plateau et alla tranquillement s'asseoir à une table. Il n'avait pas spécialement de connaissances ici. Au moins, il n'était plus pris pour cible par les autres taulards. Il fallait dire qu'être d'un tempérament violent aidait particulièrement à se faire un nom ici, et violent, il l'était. Tous ceux qui avaient essayé de s'en prendre à lui avaient fini quelques dents en moins, et ça avait calmé tout le monde. Il ne fallait jamais se fier à son allure de gringalet, après tout l'habit ne faisait pas le moine, et encore moins le criminel. Alors son statut actuel ? Il était craint. Enormément. Mais c'était sans doute la raison pour laquelle les autres pensionnaires ne s'approchaient que très rarement de lui. Tous, ou presque. Il avait bien son compagnon de cellule qui lui parlait pratiquement tout le temps. Il se demandait parfois comment il avait fait pour attérir là. Mais sans doute n'était-il pas le seul à  être lunatique. Shawn était étrange. A la fois bon, et à la fois mauvais. Il était tout. Sven l'aimait bien, sans doute autant qu'il put aimer quelqu'un, allant même jusqu'à le considérer comme le meilleur ami qu'il n'avait jamais eu l'occasion d'avoir. " Bah alors Ström, tu te sens l'âme solitaire?" Quand on parlait du loup ... Il ne tardait jamais à arriver. " Et toi Stevenson, toujours pas assez d'amis ?" Shawn s'installa à côté de lui, le gratifiant d'un rire bruyant en guise de réponse. Il fallait dire que les autres n'évoquaient pour eux aucun intérêt particulier alors pourquoi s'embarrasser à leur parler alors qu'ils pouvaient tranquillement vivre leur vie jusqu'à la fin de leur peine. Shawn avait d'ailleurs refusé catégoriquement de lui donner la raison de sa présence en prison, sans doute parce qu'il n'en était pas des plus fiers, mais il avait écopé de cinq ans. Sans doute quelque chose d'assez important donc. Ouvrant la bouche, Sven allait pour engager la conversation quand une sonnerie retentit. " Tout le monde se remet au boulot et plus vite que ça ! " Grognant, Sven observa son plateau, pratiquement rempli. " C'est une blague hein ?" Shawn le regarda d'un air amusé, tout en se levant. " Gémis pas, princesse, t'en as plus pour longtemps !"


EPISODE 3 - A successful life

Effectivement, je n'ai pas tardé  à sortir de ce trou à rats. Encore heureux, la liberté est une valeur trop peu appréciée. Pourquoi le faire alors qu'elle est entre nos mains ? Lorsqu'on la perd, on se rend compte à quel point nous en avions besoin. Je n'ai pas perdu contact avec Shawn. Je suis resté un temps à Londres mais pas longtemps, alors je lui rendais visite. Puis j'ai été contacté par Satine. Je ne vous avais pas parlé de Satine ? J'ai gardé très peu de contacts avec les gens que j'ai connu en Russie. Voire aucun. Excepté Satine. C'est une de mes seules amies et elle m'est très précieuse.  Je l'ai aussi tirée de la misère lorsqu'elle en avait besoin à son arrivée à Londres. Mais revenons à ce qui nous préoccupe, c'est à dire ma biographie - bien que vous remarquerez bientôt que tout est lié. Elle me renseignait sur sa situation - j'évite d'entrer dans le détail, vous irez la voir vous même pour lui demander - et me proposait de venir vivre à Rose Hip. Elle a toujours été au courant de mes problèmes et son timing s'avérait encore une fois parfait, alors je suis parti. Ca fait six mois que je vis dans cette ville. Six mois à me demander comment je n'ai pas pu découvrir cette perle avant. Je ne vous referais pas les longs discours, mais c'est fou ce que cette ville contient comme désespérés de tous genres. Je gagne mon salaire sur leur dos, sur le dos des filles voulant arrondir leur fin de mois et sur le dos des riches en manque de sexe. J'ai une belle vie, vraiment. J'ai connu la misère, j'ai connu la richesse excessive, maintenant je suis un peu les deux. Mon business c'est la misère, ma vie c'est la richesse. Vous devriez prendre exemple sur moi.  

EPISODE 4 - Trouble is my second name

Quoi ? Pardon qu'est-ce que vous dites ? Je n'ai pas fini ? Vous voulez que je vous parle de ... Ah ! Mon mariage ?? C'est fou ce que les gens ici peuvent aimer les potins. Je ne sais pas, vous n'avez pas de vie propre que celle des autres vous fascine ? Vous ne voulez pas savoir non plus dans quelle position je préfère m'envoyer en l'air aussi ? Ah non ça par contre non. Tant pis, j'aurais moins été gêné par ça que par le reste. Ma femme ... Une longue histoire. Enfin pas vraiment en fait. Je l'ai rencontrée il y a de cela deux mois. Elle était belle, riche, et avait besoin d'aventures. Alors vous commencez à me cerner, j'ai toujours aimé rendre service. Seulement .... Il y a un mois quelque chose s'est mal passé. Ou du moins quelque chose s'est passé. Parfois, occasionnellement il m'arrive de consommer encore quelques ... Substances. Cette fois-ci était sans doute la fois de trop puisque mon brouillard a duré trois jours, et puis je me suis réveillé, lucide, la bague au doigt. Tout aurait très bien plus me convenir si Max  - oui elle s'appelle Max- n'avait pas décidé de l'avouer à ses parents, qui, pour prouver à quel point ils la soutenaient, lui coupèrent les vivres. Je ne peux pas leur en vouloir, un gérant d'escort-girls ce n'est pas forcément le parti le plus appréciable pour une jeune fille de bonne famille n'est-ce pas ? Depuis, je tente de lui faire entendre raison pour le divorce, mais elle semble ne pas en avoir spécialement envie. Me voilà donc coincé dans un mariage dont je ne veux pas et que je fuis absolument ... Presque tous les soirs ? Sur ce, je dois aller bosser. See ya.

qui se cache là-dessous ?


Pseudo : Bad Wolf

Identité : Licorne poilue

Âge : 21 ans

Personnage : Inventé, bien entendu
Découverte du forum : La merveilleuse fonda

Fréquence de connexion : EVERYDAYYYYYYYY  

Votre avis sur Rose Hip : Ce forum est parfait, tout simplement! 

 

SVEN ▲ Russian Roulette

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ROSE HIP ::  :: L'arche de bienvenue :: Les habitants de Rose Hip-