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 Liam - Life goes on, turn the page

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AuteurMessage

Liam S. Morris
▲ I'm Liam S. Morris

pinkhind
LETTRES D'AMOUR : 331
DATE D'ARRIVEE : 29/05/2014
AVATAR : Pierre Edel
ÂGE DU PERSONNAGE : 26 ans
JOB, ETUDES : Technicien informatique, en gros
.. .. https://rose-hip.forumactif.org/t41-liam-back-in-black..

Feuille de personnage
EVERYTHING ABOUT ME & MY LIFE :
MES AUTRES VISAGES: Shawn J. Harper
DISPONIBILITÉ POUR RP : full (Zeke, Térance, Shane, Joe, Zeke/Cat)

Liam - Life goes on, turn the page Empty
MessageSujet: Liam - Life goes on, turn the page Liam - Life goes on, turn the page EmptyVen 30 Mai - 13:43


Yesterday laughs


GIF box car on en trouve pas ailleurs.

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Largeur : 200 à 300px www | www | www



Random facts

Soumis au programme de Protection des Témoins, Liam est un homme "tout neuf". Son vrai nom est Stanley McCartney.
Il a 26 ans et avait toujours vécu à Dublin, Irlande avant d'arriver à Rose Hip.
Ses relations amoureuses n'ont pas été de grands succès. Il était parfois trop attaché, parfois pas assez, jamais en bon timing avec ses ex.
La seule chose en laquelle il croit, ce n'est pas Dieu ni Bouddha, c'est Manchester City.
Il possède une Gibson SJ-200 et une Gibson Sheraton Supernova.
Toujours bon public, il est aisé de le faire rire voire pleurer de rire.
Des études acharnées durant cinq années lui ont permis de devenir ingénieur, il est sur-diplômé par rapport au travail qu'il a dégoté et il le vit plutôt mal.
Sans vouloir entrer dans les clichés, il est passionné d'informatique et a un faible pour la science-fiction.
La raison pour laquelle il ne se sépare jamais de son bonnet est qu'il n'aime pas son crâne.
Fervent supporter, il aime autant regarder le football qu'y jouer.
Avant de changer de vie, il avait un compte Youtube sur lequel il postait ses reprises et ses compositions. Il était loin d'être ultra connu, mais les adeptes de rock et de blues peuvent avoir entendu parler de lui. Vaguement.
Sa fête préférée est la Saint Patrick.
Quand on lui a dit qu'il aurait une nouvelle identité, il a insisté pour choisir au moins son prénom et son nom de famille. Liam pour le frère Gallagher, Morris pour le vendeur de Marlboro.
Impossible de louper ses tatouages puisqu'il en a pour ainsi dire partout.
Une fois qu'il a accordé sa confiance, c'est une confiance aveugle et s'il se fait trahir il sera pour le coup ultra vexé.
Il a un sens de l'orientation juste pathétique. Même après vingt ans à vivre à Dublin, il lui arrivait de se perdre.


Story of your life

When I was a kid (7 y/o, 1995)
- Kee ? Pourquoi tu veux plus me parler Kee ?
- Laisse moi tranquille Stan, j'ai pl-plus envie de jouer.
Assis par terre au pied du lit, les avants-bras repliés ensemble sur la couette aux couleurs de l'Irlande et le menton posé sur ses minces poignets empilés l'un sur l'autre, le cadet McCartney avait froncé les sourcils comme les enfants savent si bien le faire et dardé son regard clair vers son grand frère. Il avait beau essayer par tous les moyens de lui plaire, il avait l'impression que l'impatience de Keegan ne lui laissait aucune chance. Ils avaient joué au football dans la cour de la maisonnette familiale tout au plus une vingtaine de minutes avant que Stanley ne se retrouve seul avec son ballon. Sans s'essuyer les pieds il était rentré et avait trouvé son frère dans sa chambre, assis à la tête du lit avec sa guitare neuve sur les genoux, cadeau de son dernier anniversaire qui avait le don d'émerveiller Stan. Il aimait écouter son frère jouer pour la millième fois Smoke on the water même si cela avait un peu perdu de son effet.
- Tu veux pas m'apprendre à jouer ?
- T'es tr-trop p'tit, tu pourrais pas, avait répondu assez sèchement l'aîné.
Malgré ses efforts répétés, c'était là la seule réponse qu'il avait réussi à obtenir. Keegan et Stanley n'étaient pas proches, c'était indéniable : ils ne se détestaient pas, évidemment, mais ils ne partagaient simplement rien, à peine quelques moments de complicité incroyablement rares. "Pourquoi on va plus manger de glaces après nos entraînements de foot ?" avait demandé Stan après un cours silence, trahissant l'hésitation qu'il avait eu à poser cette question.
C'était le rituel : après l'entraînement de Stan le mercredi et celui de Keegan le samedi, les quatre McCartney s'arrêtaient au coin de la Première Rue à leur boutique ambulante fétiche de glaces, de mai à septembre sans exception. Seulement, depuis trois semaines, ils n'avaient pas vu la couleur du moindre sorbet. Keegan avait soupiré, posé sa guitare sur la couette et jeté un regard légèrement nerveux à la porte de sa chambre. Il savait très bien pourquoi ses parents refusaient désormais de s'arrêter à cet endroit, il ne savait juste pas s'il avait vraiment le droit d'en parler. Son air mystérieux avait attisé la curiosité de Stan qui le regardait comme s'il détenait la réponse à toutes les questions de l'univers alors il avait continué sur le ton de la confidence. "T.. Tu sais, Sean le monsieur qui nous vendait les glaces ? Papa et maman disent qu'on d-doit plus l'approcher. Ils m'ont dit qu'il était sale et qu'ils ne voulaient pas qu'on devienne malades nous aussi." S'enhardissant devant l'air circonspet et les yeux ronds de Stan, Keegan avait continué. "Ils l'ont vu embrasser un monsieur. Et ils m'ont dit, "A-arrête de regarder Keegan, c'est pas bien ce qu'il fait !"" avait-il mimé en prenant une voix grave pour imiter son paternel. "Les garçons c'est fait p-pour les filles, sinon c'est pas normal !" avait-il finalement conclu.

Lorsque quinze ans plus tard on lui demandait d'où venait son homophobie, Stan était incapable d'en expliquer les origines : truth be told, ses parents ont tout à fait su lui transmettre leurs opinions à ce sujet, sans même qu'il ne s'en rende compte. S'il était moins extrêmiste que ses parents, cela ne l'a pas empêché de croire à l'idée que l'homosexualité était pas normale, biaisée, quasi perverse.

Talkin' about my generation (15 y/o, 2003)
- T'es sûr que ça va le faire Keegs ?
- Arrête de faire ta tapette Stan, fais moi confiance.
Ravalant sa fierté, Stan attrapa le ticket que lui tendait son frère. Après l'avoir harcelé des semaines pour savoir qui étaient les types avec qui il sortait tous les soirs de match, Keegan avait cédé et lui avait offert une place pour lui présenter le groupe. Au fond, il savait pertinemment que son aîné fréquentait des hooligans vu l'état dans lequel il rentrait, mais savoir ne lui suffisait pas : il voulait le voir de ses propres yeux et enfin attirer l'attention de Keegan. Alors ils avaient rejoint le fameux groupe, Keegs avait rapidement présenté son frère à tout le monde, une des rares fois où ils se sont sentis proches à vrai dire. Le téléphone archaïque de l'aîné McCartney avait sonné, étant donné qu'il était un des premiers de la bande à disposer d'un cellulaire et tout le monde s'était tut pour écouter. "C'est Rick", avait-il lancé avant de décrocher. "On est devant le stade oui. Main door. Bouge toi, ça va commencer !". A peine quelques secondes plus tard, deux silhouettes fendaient l'obscurité naissante : la première que Stanley devina être Rick et la seconde, fine et petite, qui était visiblement inconnue au reste du groupe puisque les remarques sur son physique fusèrent sans tarder, assez fort pour que l'adolescente les entende. Une fois Rick et l'inconnue à portée raisonnable de voix, cette dernière ouvrit la bouche et Stan comprit qu'il allait l'apprécier. "Bande de porcs, j'ai 15 ans, trouvez-vous des filles de votre âge." Il se souvient encore des mines déconfites des potes de son frère et des efforts qu'il avait dû faire pour ne pas éclater de rire. Elle avait remarqué sa discrétion et était venue se présenter à lui. Joe. Celle qui allait être sa meilleure amie durant cinq ans, inséparables comme au premier jour.

En pleine crise d'adolescence, Stan se fit accepter rapidement au sein des hooligans. Premiers matchs, premières cuites, premières clopes, son caractère était assez apprécié pour faire involontairement de l'ombre à Keegan. Puis, les leaders du groupe se montrèrent de plus en plus violents, jusqu'à évoquer des sorties avec quelques bandes skinheads du coin. Joe et Stan s'éloignèrent alors, ne souhaitant pas se mêler à ces histoires.

Talkin' about my generation (17 y/o, 2005)
UC...





- moriarten
 

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